Les entreprises qui, au deuxième trimestre 2020, ont dû invoquer le chômage temporaire pour au moins 20% du nombre total de jours de travail, ou qui relèvent d'un nombre restreint de commissions paritaires, peuvent exceptionnellement continuer à faire usage du régime assoupli du chômage temporaire dû à la corona jusqu'au 31 décembre 2020.
Les entreprises relevant des commissions paritaires 140.02, 227, 302, 303.03, 304, 329 ou 333 n'ont aucune démarche à effectuer. Ils sont automatiquement reconnus comme étant en difficulté et peuvent continuer à bénéficier de la procédure allégée.
Les entreprises qui ont invoqué le chômage temporaire pour 20% de jours ouvrables pour le deuxième trimestre de 2020, ou qui appartiennent aux commissions paritaires n° 100, 109, 111, 126, 139, 140.01, 140.04, 149.01, 200, 209, 215, 226, 314 ou 315, Toutefois, ils doivent obtenir l'accord préalable de l'ONEM. Cela peut être fait en ce formulaire à l'un des bureaux régionaux.
Si votre entreprise appartient à l'une des catégories ci-dessus mais que vous estimez qu'elle n'a pas besoin d'utiliser ce système pour le moment, nous vous recommandons tout de même d'en faire la demande de manière proactive. Dans les cas où il est nécessaire d'agir rapidementPensez, par exemple, à la situation dans laquelle vous, en tant que gestionnaire, devriez vous mettre en quarantaine et donc fermer temporairement votre entreprise.À ce moment-là, il est souvent trop tard pour présenter une telle demande. L'obtention d'une prolongation ne signifie pas que vous êtes obligé de demander le chômage temporaire, mais que vous pouvez y avoir recours chaque fois que cela est nécessaire. Gouverner, c'est prévoir.
L'enfant de mon employé doit être mis en quarantaine : que faire ?
Le gouvernement a également prévu la possibilité de demander un chômage temporaire pour cause de force majeure pour les parents dont l'enfant doit être mis en quarantaine.
Sur la base d'une attestation de la crèche, de l'école ou du centre pour handicapés, l'employeur peut demander à l'ONEM le chômage temporaire pour cause de force majeure d'un travailleur confronté à un tel problème. Ce règlement devrait entrer en vigueur le 1er octobre, mais doit encore être approuvé définitivement par le Parlement.